Direction artistique
Alice Thalamy
Elle co-fonde et travaille depuis 2011 au sein du A VRAI DIRE Collectif, en Bourgogne, en Belgique et à Paris, avec lequel elle joue: Rhapsodie et Pendant que la viande pousse dans les supermarchés, Tartuffe ou l’Imposteur de Molière et Prémices d’une révolution – création théâtrale contemporaine 2018-2019.
Elle a travaillé depuis 2015 avec la Cie CK Points – Paris : création du spectacle « J’ai dit Silence » au Centquatre – Paris, l’institut français de Fès au Maroc et au point éphémère à Paris. Et les projets européens ATLAS, vers la création partagée, en Italie (Bologne), en Belgique (Anvers), en Pologne (Varsovie), Centquatre – Paris et Torcy avec la Ferme du buisson 77.
Depuis 2018, elle collabore avec le collectif Mapaso, danse et théâtre, franco-colombien à Paris.
Au cinéma, elle a travaillé sous la direction de Tony Marshall pour le film « tu veux ou tu veux pas » 2015 et Zabou Breitman « No et moi » 2010.
Au théâtre, elle interprète Hermione dans « Andromaque » de Racine mis en scène par Mourad Mansouri. Elle joue et met en scène « Les Bonnes » de Jean Genet ainsi que « J’étais dans ma maison et j’attendais que la pluie vienne » de Jean-Luc Lagarce à La Ferme du buisson-scène nationale.
En 2013, elle réalise la lecture-performance intégrale de « L’Odyssée » d’Homère pour le théâtre des Ateliers et les lectures pour le festival littéraire « Lettres d’Europe et d’Ailleurs » (éditions 2013 et 2014) à la Cité du Livre / La Méjanes à Aix en Provence.
Formée au théâtre avec Agathe Rouillier, Michel Cerda, Jean François Auguste, David Géry, Michel Archimbaud, Delphine Boisse.
Formée à la Compagnie d’entraînement dirigée par Alain Simon au théâtre des Ateliers d’Aix en Provence, et en études théâtrales à la faculté d’Aix en Provence – Marseille et Paris.
Titulaire de la Licence d’études théâtrales de la Sorbonne-nouvelle et du DET Diplôme d‘Etudes théâtrales du Conservatoire d’art dramatique de Noisiel.
Direction Artistique et Diffusion:alice@avraidirecollectif.com
Au Bureau
DAVID BEAUDEQUIN
Non-issu du monde du théâtre, il est spécialisé dans le tourisme et dans le développement des territoires. Passionné de photo, d’art, de vieilles pierres, de voyages et de cinéma, il complète son expérience professionnelle par divers engagements associatifs au fil des rencontres et des possibilités.
En 2018, il quitte le territoire pour se faire une nouvelle expérience professionnelle en Angleterre, dans l’hôtellerie cette fois.
De retour en France, il dirige actuellement l’Office de Tourisme Morvan Sommets et Grands Lacs, en Bourgogne. En parallèle, il rejoint l’association Sceni Qua Non comme projectionniste bénévole.
Spectateur de la première heure, il intègre le Collectif en 2021 comme administrateur.
Administration et Production:david.beaudequin@avraidirecollectif.com
Romain Vaillant
Il a été formé au conservatoire de Bourg-la-Reine puis au Conservatoire à Rayonnement Départemental du Val Maubuée à Noisiel auprès de Delphine Boisse, Guy Segalen et Mourad Mansouri. Il intégre l’Ecole Supérieure d’Acteurs de Cinéma et de Théâtre de Liège en 2010 où il travaille notamment avec Raven Rüel, Toshiki Okada, Delphine Bibet, Françoise Bloch et Mathilde Lefevre.
Il co-fonde et travaille depuis 2011 au sein du A VRAI DIRE Collectif, en Bourgogne, en Belgique et à Paris, avec lequel il joue: Rhapsodie et Pendant que la viande pousse dans les supermarchés, Tartuffe ou l’Imposteur de Molière et Prémices d’une révolution – création théâtrale contemporaine 2018-2019. Il réalise plusieurs documentaires : La résistance des fous et Article 23.
Il obtient son Agrégation en Art Dramatique en 2015.
Il a joué Les récoltes sonores, création et co-écriture avec Laura Kpegli qui a tournée en Afrique au Togo en Janvier 2010, Andromaque de Racine mis en scène par Mourad Mansouri à l’ Auditorium Jean Cocteau à Noisiel.
En 2014, il créé avec Sophie Warnant Ha Tahfénéwai ! Spectacle autour de la psychothérapie institutionnelle en tant qu’artiste de la saison au Théâtre National de Bruxelles et en Co-production avec le Théâtre National de Bruxelles et le Festival de Liège. Ils ont reçu le PRIX DE LA CRITIQUE 2015 de la Meilleure découverte.
contact association:romain@avraidirecollectif.com
Les artistes invité.es
Annah Schaeffer
Elle a été formée Conservatoire Royal de Liège ( E.S.A.C.T.) où elle y rencontre Romain Vaillant. Durant sa formation, elle travaille notamment avec Raven Ruel, Vincent Heinebick et Christophe Gockel.
En 2011, Elle joue la femme d’avant de Roland Schimmelfeling avec Maryline Even, mis en scène par Jacques Descorde au Théâtre les Pipots à Boulogne sur mer. Ainsi que Les Marathoniens, pièce écrite et mise en scène par Jacques Descode.
En 2013, elle vient donner un regard extérieur sur la première création de l’A vrai dire Collectif. L’année suivante, l’A Vrai Dire Collectif lui propose de travailler sur Tartuffe ou L’Imposteur de Molière. Une tournée s’en suit. Elle tourne Le Port de l’oubli avec Victor Lanoux pour FR3, en 2014. La même année, Daniel Tonachella lui donne son premier rôle au cinéma dans La Route du Deal. Par la suite, elle tourne avec Guillaume Gallienne et Lucas Belvaux.
Durant ce temps, elle travaille sur une création théâtrale « J’abandonne une partie de moi que j’adapte » avec Justine Lequette, pris au Festival de liège en 2017 et au théâtre National en 2018. Lola Gantillon lui propose un rôle dans son court-métrage « Horizontal », prix de réalisation festival l’ombre d’un court.
Elle joue Emilia dans « Othello » mis en scène par Aurore Fattier (saison 2018/19), Tournée sur les CDN de France en 2019/2020. La pièce « Déracinés » écrite et mise en scène par Bogdan Zamfir remporte l’appel a projet France/Roumanie 2018 (Lavoir moderne parisien / CNDB de Bucarest), une tournée sans suit (Festival Piatra Neamt/ Cité miroir liège).
En parallèle, elle développe le travail photographique de portrait et de scène théâtrale. Elle photographie les spectacles comme « Pink Boys and old ladies » (m.e.s. clement Thirion), « penthésilé » (m.e.s. Thibaut wenger) et d’autres compagnies et acteurs/actrices belge. Une exposition de portraits sur la vieillesse sur les grilles du parc Darcy à Dijon pour le projet « portraits d’amour(s) ».
En 2022, elle est engagée par Aurore Fattier sur une adaptation de Hedda Gabler, dont elle a le second rôle (Théâtre national, Odéon, Amsterdam…). Elle assiste Hugo Favier pour sa première création « Juste la fin du monde » au Théâtre de Liège en 2023.
communication:annah.schaeffer@avraidirecollectif.com
Grégoire B Thorin
Après des études de décorateur (Ecole Grégoire Ferrandi, Paris), puis une formation de stylisme (Institut Paris Modéliste, Paris). Grégoire B-Thorin poursuit son cursus dans le domaine du design graphique (Nicéphore Cité, Chalon sur Saône).
Ses différentes expériences artistiques lui permettent une plus grande liberté de création. Artiste « matiériste », ses œuvres concilient photographie et peinture, au travers d’une mise en scène élaborée où la lumière prédomine.
Depuis sa première exposition en 2006, il aborde les thèmes du corps, de l’identité sexuelle, du rêve, de la mort, de la mémoire, traités sur l´idée de violence et d´apaisement.
Aujourd’hui photographe et graphiste designer basé à Dijon, Grégoire B-Thorin conçoit son travail comme un tout, une unité d´ensemble, reflet de l’éphémérité et du temps qui passe.
Avec le projet « MEMO », il se penche sur le thème de la mémoire et de sa disparition.
Un véritable travail d’archéologie de l’image composée de vestiges du passé. La démarche débute par la collecte de différents témoignages de vies à travers divers objets, photos, motifs, tissus, lettres et autres reliques d’instants oubliés. C’est à travers des détails qui peuvent paraître insignifiants que se révèle une histoire suggérée, fantasmée, rêvée où chacun est libre d’interprétation.
L’intention étant de conserver la mémoire et les précieuses traces d’un passé trop souvent délaissé et de les réconcilier dans une forme contemporaine, créant des rencontres, des confrontations d’où vont naître des images bucoliques et poétiques.
A travers sa série -KIKISSKI-, Grégoire nous invite à nous interroger sur nos préjugés liés à l’apparence, à l’identité réelle ou supposée, de tou·te·s ceux et celles que l’on croise de ci de là, qui font l’objet des rumeurs les plus folles et souvent infondées ; invitation à plonger en soi, à questionner nos évidences, nos normes choisies ou héritées, notre rapport à l’altérité, à la sensualité, à l’attirance comme au rejet ; une incitation à poser un regard neuf et curieux sur ce qui nous fascine ou nous effraie, comme une lucarne parmi d’autres sur le monde et sa diversité. A travers un exercice de déshabillage par photographies interposées puis retravaillées pour en faire la trame d’une fable colorée, dans laquelle chacun-e est invité-e à se chercher, s’imaginer, se projeter, voire se réinventer ?
Aphelandra Siassia
Journaliste indépendante, diplômée d’un Master en histoire de l’art contemporaine et d’un Master en journalisme culturel, Aphélandra Siassia s’engage sur les terrains féministe intersectionnel, social et artistique. Dans son travail de rédactrice, elle cherche à faire résonner les voix de celles et ceux que l’on n’entend pas, mettant ainsi son engagement en première ligne. Aujourd’hui, elle travaille en tant que chargée de projet pour l’association Jouïr, archive sonore axée sur les questions d’intimité et de genre basée à Marseille mais ayant un rayonnement international. Salariée de cette structure depuis un an, Aphélandra SIASSIA cherche avec son co-fondateur, Constant Léon, à proposer une nouvelle expertise sur les questions féministes intersectionnelles dans le monde de la création radiophonique.
Polyvalente, elle a fait ses armes dans plusieurs rédactions parisiennes tels que Tracks Arte, TAFMAG, Les Inrocks ou encore Marie Claire Digital. Aujourd’hui, c’est en tant que free-lance qu’elle évolue, n’hésitant pas à jongler entre différents types de projets éditoriaux, allant de l’écriture, à l’audiovisuel en passant par la création sonore.
Elle allie à cette expertise un fort attrait pour le monde des arts, milieu dans lequel elle gravite depuis le début de ses études. Ses expériences d’assistante galeriste à Paris, de coordinatrice artistique au sein des Grands Voisins et de commissaire d’exposition sur des projets collectifs, ne font que souligner cette appétence.
Par ailleurs, elle cultive depuis toujours une passion pour les arts plastiques. Artiste à l’imaginaire abstrait, sa pratique se veut avant tout cathartique, Aphélandra se servant de la feuille et du pinceau comme exutoires. Le chant, les percussions et la poésie viennent s’ajouter à ses expérimentations esthétiques. À ce jour, elle compte 16 expositions collectives.
« Je perçois mes travaux artistiques comme des méandres de lignes, des vagues et des courbes qui s’entrelacent à mesure de l’avancée de mon pinceau. Plus qu’artiste, j’essaye avant tout d’extérioriser. Parfois prise dans de mouvements frénétiques, je couvre ma feuille d’empreintes, d’éclats de pensée.” A.S
Hélène Capelle
Hélène capelle est comédienne et metteuse en scène, elle se forme en tant que comédienne, en conservatoire. Elle obtient en 2009 son DET (diplôme de fin d’études théâtrales) avec le spectacle « Autour de Créon » d’après Antigone de Sophocle, qu’elle met en scène et participe à de nombreux stages avec les artistes Cyril Teste, Jean-François Auguste, Patrice Thibaud, Brigitte Jaques-Wajeman…
En 2010, elle fonde avec 2 acteur.ices, le A Vrai Dire Collectif, basé en Bourgogne, où les spectacles interrogent le présent, en constante relation avec le territoire et la ruralité, elle y co-crée: Rapsodie, Quand la viande pousse dans les supermarchés et Prémices d’une Révolution.
En 2013, elle intègre la Compagnie CK-Points et collabore sur de nombreux projets en France et en Europe. Elle y mène notamment des stages et ateliers d’apprentissage du français par le théâtre en collaboration avec l’association Langues plurielles et le Cinq-CentQuatre.
En 2018, elle rencontre Bernard Benattar, philosophe avec qui elle construit actuellement un projet de documentaire sonore dont le pilote « 50 nuances d’Amour » a été enregistré entre février et avril 2020.
En 2019 elle intègre l’équipe pédagogique du Cours Florent-Bordeaux et créée la compagnie du Risque dont elle co-directrice artistique avec Lætitia Ajanohun.
Lors de la saison 2021/2022, elle porte le projet «Vivre en mêlée» sur la mixité à travers le symbole de la mêlée et collabore sur divers projets sur le territoire bordelais avec le photographe Ken Wong-Youk-Hong. Elle mènera en mai et juin 2022, le projet théâtre/cinéma « DESIR(S) » dans l’EHPAD avec Ron Vargas et jouera le rôle de Mia dans «Il y a assurément de l’indicible» création co-produite par la Scène Nationale d’Evreux et écrite par Lætitia Ajanohun.Elle est metteuse en scène associée au centre social et culturel Brassens-Camus pour deux ans sur le projet « Histoires croisées » menée par l’association Didée.
Isabelle Urbain
est comédienne diplômée du Conservatoire Royal de Liège (ESACT) en 1989. Elle reçoit le Prix de l’Union des Artistes ainsi que le Prix René Hainaux. Elle partage sa vie professionnelle entre son métier de comédienne et sa charge de professeur d’art dramatique au sein de l’ESACT. Elle a travaillé sous la direction de Jacques Delcuvellerie (pour le spectacle Anathème), André Steiger (Pièces de Labiche et cabaret), Richard Kalisz (L’Instruction de Peter Weiss et Les Bonnes de Jean Genet), Mathias Simons et Axel Deboosere (Baal de Bertolt Brecht), Françoise Bloch (La comédie sans titre de Ruzzante), Pietro Varrasso (Riders to the sea, Opéra de Synge et Estrades de Jean-Pierre Willemaers), René Georges (Maison d’arrêt d’Edouard Bond et Barbe bleue de Dhéa Loher), Anne-Cécile Vandalem (Michel Dupont spectacle sonore, Festival d’Avignon), Isabelle Gyselinx (Gagner et perdre, deux pièces de Samuel Beckett).
Le Collectif lui propose de la Création Prémices d’une révolution en 2018. Elle participe aux actions culturelles P.R.A.C.S visages et voix.
Laurie Barthélémy
Comédienne, issue de l’École Nationale Supérieure d’Art Dramatique de Montpellier.
C’est en 2014, avec ses camarades de promotion, qu’elle crée le collectif d’acteurs -la carte blanche- avec lequel elle se produit entre autres dans Un Opéra de Quat’sous d’après Bertolt Brecht mis en scène par Marion Guerrero et dans Foi Amour Espérance d’Ödön Von Horváth mis en scène par Katia Ferreira.
Elle joue également dans Nobody, une mise en scène de Cyril Teste (Collectif MxM) d’après l’oeuvre de Falk Richter. Cette performance filmique, axée sur le monde de l’entreprise, est créée en 2013 dans les bureaux du Printemps des Comédiens. Ce spectacle sera par la suite réadapté pour un plateau de théâtre. (tournée nationale 2015/2016 et 2016/2017)
En 2016, elle co-écrit, avec une jeune compagnie franco-belge (AVraiDire Collectif), un spectacle sur le thème de l’agriculture, inspiré de témoignages de paysans rencontrés dans la Nièvre.
En 2018, les quinze membres du collectif d’acteurs -la carte blanche- dont elle fait partie, créent le Label Parallèle qui rassemble leur différents projets personnels. Son équipe est accueillie en mars au Grand Parquet Paris Villette, le temps d’un festival mettant en lumière six projets du Label Parallèle.
Elle est dans la nouvelle création de Katia Ferreira (le5emequart), First Trip d’après Virgin Suicides le roman de Jeffrey Eugenides . (Printemps des comédiens 2019, tournée nationale 2019/2020)
Maïna Madec
Elle pratique le théâtre et l’écriture depuis l’adolescence.
Après l’obtention d’un baccalauréat littéraire option théâtre, elle se forme au conservatoire de théâtre de Rennes. Elle suit en parallèle des études de lettres et obtient un Master 2 de Lettres, Arts et Pensée contemporaine.
Comédienne de la troupe de l’Épée de Bois puis au sein de la compagnie de théâtre de rue Babylone, elle crée en 2017 (avec la scénographe Camille Riquier-compagnie LDS) le spectacle Miss Alaska Usa qui lui permet d’interpréter pour la première fois l’un de ses textes sur un plateau de théâtre. Elle a obtenu le deuxième prix du Cercle des Nouveaux Écrivains pour la nouvelle Nul n’amadouera le chien du pont de l’Alma et son Récit d’un voyage en Biélorussie a été publié dans le journal Libération. Sa pièce Le comptoir où le monde s’est échoué a été sélectionnée en 2018 par le Label Jeunes Textes en Liberté. Deux lectures ont eu lieu lors d’une carte blanche du Tap, Scène Nationale de Poitiers et des extraits ont été publiés dans le premier numéro de la revue d’écriture théâtrale La Récolte.
MATHIEU HUOT
Mathieu Tanguy
Après des études universitaires en Art du Spectacle à Aix/Marseille et une formation en compagnonnage (La Compagnie d’Entraînement) au théâtre des Ateliers d’Aix-En-Provence, il intègre l’ERAC en 2007. Il y rencontre notamment Gildas Milin ou encore Catherine Marnas. Avec elle et l’ensemble 18, ils signent un spectacle de sortie d’école avec des textes de Bernard-Marie Koltès : Si un chien rencontre un chat, Festival d’Avignon In 2010. Depuis il joue dans L’école des femmes de Molière avec la compagnie série illimitée ou encore dans Le Malade imaginaire, mise en scène par Renaud Marie Leblanc. Il travaille également avec d’autres comédiens de L’ERAC : Quelque chose de commun, mise en scène Juliette Peytavin au 13 Vents, à Montpellier. Il rencontre la compagnie chantier public en 2014, et démarre la création de Comment on freine ? en 2016.
Dernièrement il a participé à la tournée d’une adaptation d’Antigone de Sophocle, notamment en Chine et au Maroc.
Mathilde Lobet
Sylvain Laborde
Formé à l’école Claude Mathieu en 2010 et par le Théâtre des Chimères de Biarritz avec Jean-Marie Broucaret. Il a travaillé notamment avec Jean Bellorini dans le spectacle « Des espoirs ». Il a joué au festival Premier Pas a la Cartoucherie de Vincenne dans le spectacle « L’atelier » de Jean-Claude Grumberg mis en scène par Gaelle Hermant en 2011.
II intègre l’A Vrai Dire Collectif, ou il crée et joue dans la première création « Rhapsodie » et dans « Tartuffe » de Molière.
En 2015, il monte avec le Collectif la nouvelle création « Pendant que la viande pousse dans les supermarchés ». Il suit une formation dans « l’entreprenariat théâtral » à Liège ainsi qu’au Théâtre National de Bruxelles et au Raoul Collectif en Belgique.
Il a travaillé à l’opéra de la Monnaie de Bruxelles en 2016 sous la direction de Richard Brunel dans Béatrice et Benedict. Il monte avec le collectif la création « Prémices d’une Révolution ».
Nouveau projet de capsules vidéos « La pause radio ».
Sylvère Santin
Formé tout d’abord en musique au conservatoire d’Avignon et d’Aix- en-Provence en trombone, contrebasse et chant lyrique, et après avoir obtenu son DEM de conservatoire en 2006 il entre en 2009 à L’Ecole Nationale Supérieure d’Art Dramatique de Montpellier, dirigée par Ariel Garcia Valdès. Il se forme auprès de Lukas Hemleb, Claude Degliame, Bruno Geslin, Richard Mitou, Robyn Orlin, Cyril Teste, Evelyne Didi, André Wilms, Sylvain Creuzevault, …
Il mêle régulièrement théâtre et musique (en tant que musicien comme chanteur) en jouant sous la direction de différents metteur en scène au service de projets très variés : Georges Lavaudant dans État Civil, autour de l’oeuvre de Antonio Lobo Antunes (MC93, 2011), Richard Mitou dans Les Numéros – Cabaret d’Hanokh Levin (Printemps des Comédiens, 2012), Véronique Bellegarde sur un texte de Grégoire Solotareff Isabelle et la Bête mis en musique par Sansévérino (MC2 – TNB, 2013), Dag Jeanneret dans Tambours dans la nuit de Brecht (Sortie Ouest – Treize Vents , 2013-14), Marie- Eve Signeyrolle dans 14+18, oeuvre Opératique pour l’anniversaire de la Première Guerre Mondiale (Opéra de Montpellier, 2014)…
Il intègre par la suite le collectif La Carte Blanche et participe à plusieurs projets depuis 2014, notamment la création de NOBODY,
d’après Falk Richter, mis en scène par Cyril Teste (Collectif MxM, tournée 2015-2017).
Il entretient une collaboration régulière avec l’Opéra Orchestre de Montpellier pour lequel il joue, chante et met en scène. Il y a créé des projets jeunes publics pendant deux saisons (Le Carnaval des Animaux de Saint-Saëns, Peer Gynt de Grieg, Don Quichotte de Strauss,…). Il monte en collaboration avec Jean-Marc Boudet, L’Histoire du Soldat de Stravinsky et Ramuz, dans une version seul en scène, au Théâtre Jean-Claude Carrière en mars 2016.
Il joue dans l’opérette La Chauve-Souris de Strauss à l’ocassion des Folies d’O à Montpellier en 2017, mis en scène par Benoît Benichou, dirigé par Jérôme Pillement.
Il travaille en tant qu’assistant à la mise en scène auprès de la compagnie La Raffnerie avec le spectacle Ca Occupe l’Ame créé en
mai 2017 à St-Quentin-en-Yvelines. Il travaille avec le Collectif Bajour sur des créations dite d’écriture au plateau, notamment avec Départs , mise en scène de Leslie Bernard et Matthias Jacquin, festival SITU (Veules-Les-Roses, 2016), ainsi que
sur la reprise d’Un homme qui fume c’est plus sain mise en scène de Leslie Bernard, pour le festival IMPATIENCE (décembre 2017). Il met en scène Chez Nous, bien sûr les Catastrophes de Théophile Dubus – Festival En Actes, TNP (Villeurbanne, mars 2018) Il met en scène l’Opéra pour enfant Idriss ou la fete interrompue d’Isabelle Aboulker en collaboration avec Julie Méjean, (Montpellier, juin 2018).
Il joue dans l’adaptation de Virgin Suicides de Jeffrey Eugenides dans une mise en scène de Katia Ferreira, compagnie Le Cinquième Quart, créé en mars 2019 à la MC2 de Grenoble, en tournée sur la saison 19/20.
Sylvère est aussi co-fondateur de TEXTE EN COURS, festival de jeunes auteurs émergents, de lectures de textes en cours d’écriture, de projets en route, sur Montpellier depuis 2013.
Vladimir Harcq
Il fait sa formation au Conservatoire Royal de Liège, section Art Dramatique, entre 2011 et 2015. Il y travaille, entre autre ,le grand style et la tragédie racinienne à travers l’oeuvre d’Andromaque où il incarne Pyrrhus, travail dirigé par Nathalie Mauger. Plus tard, il travaillera le jeu masqué sous la direction de Frédéric
Ghesquière. Il a également abordé le jeu épique à travers La mère de Brecht où il incarne le professeur. Sous la direction de Patrick Bebi ainsi que l’interprétation de séquences du film Scènes de la vie conjugale de Bergman, travail dirigé par Mathias Simmons. Au cours de sa formation, il a également joué dans quatre « carte blanche » proposées par des étudiants en Master dont «Sefwele » dirigé par Romain Vaillant qu’il a maintenant rejoint au sein du A Vrai Dire Collectif pour leur nouvelle création. En parallèle, il est agriculteur en permaculture dans sa ferme en Belgique, près de Namur. Il organise des stages théâtre/nature pour les enfants et continue ses recherches entre la nature et l’art.